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Sarah Guillo

Artiste laqueur

ARTISTE LAQUEUR

un éclat d’or pour évoquer une lumière, un glacis pour en sculpter la profondeur, entre le souvenir et le rêve.

Feuille d'or
Sarah Guillo
Mirages, détail
En Balade, détail

A propos

Après des études de graphisme, Sarah Guillo découvre l’atelier de laque de l’école Olivier de Serres et ce fut comme une évidence. Pendant deux ans, au cours du DMA Laque, elle apprend et explore des techniques alliant tradition et création contemporaine. Elle parfait sa formation chez Nathalie Rolland-Huckel, qui l’accueille en stage une année au sein de son atelier.

Le voyage se poursuit, et sous le nom Entre-Laque, elle crée son atelier. Sarah travaille le vernis gras dont l’origine remonte au XVIIIème siècle. Chaque couche passée nécessite 24h à 48h de séchage, et doit être poncée avant la suivante. Le vernis additionné de pigments lui permet de travailler une palette étendue de couleurs et de jouer des textures qui seront révélées au ponçage.

La laque

A l’origine de la laque, se trouve le rhus vernicifira, un arbre dont la sève se polymérise au contact de l’air.

Posée au pinceau, la sève crée une couche protectrice sur les objets usuels. Sa première utilisation connue remonte à 7000 av JC en Chine. Son usage s’étend en Asie, où pousse l’arbre à laque et chaque culture se l’approprie. D’un usage d’abord utilitaire, les qualités esthétiques de la laque permettent de développer une ornementation complexe où chaque objet rivalise de préciosité.

Au XVIIème siècle, les occidentaux commercent avec l’Asie, et importent en Europe les premiers objets laqués. Les paravents chinois et japonais sont démontés pour plaquer le mobilier français. La rareté et le coût des laques poussent les artisans à mettre au point leurs propres formules de vernis, d’autant plus que la laque végétale ne supporte pas le voyage et sèche avant son arrivée. Le vernis Martin, créé en 1730 à base de Copal et d’huile de lin marquera les débuts de la laque européenne, ou vernis gras.

vernis flatting coloré au pigment
création de décor
Cassandre, détail
Komorebi

un éclat d’or pour évoquer une lumière, un glacis pour en sculpter la profondeur, entre le souvenir et le rêve.

A propos

Après des études de graphisme, Sarah Guillo découvre l’atelier de laque de l’école Olivier de Serres, et ce fut comme une évidence. Pendant 2 ans, elle apprend et explore des techniques alliant traditions et créations contemporaines. Elle parfait sa formation chez Nathalie Rolland-Huckel, qui l’accueille en stage une année au sein de son atelier.

La laque

A l’origine de la laque, se trouve le rhus vernicifira, un arbre dont la sève se polymérise au contact de l’air.

Posée au pinceau, la sève créée une couche protectrice sur les objets usuels. Sa première utilisation connue remonte à 7000 av J-C en Chine. Son usage s’étend en l’Asie, où pousse l’arbre à laque et chaque culture se l’approprie. D’un usage d’abord utilitaire, les qualités esthétiques de la laque permettent de développer une ornementation complexe où chaque objet rivalise de complexité.

Au XVIIème siècle, les occidentaux commercent avec l’Asie, et importent en Europe les premiers objets laqués. Les paravent chinois et japonais sont démontés pour plaquer le mobilier français. La rareté et le coût des laques poussent les artisans à mettre au point leurs propres formules de vernis, d’autant plus que la laque végétale ne supporte pas le voyage et sèche avant son arrivée. Le vernis Martin, créé en 1930 à base de Copal et d’huile de lin marquera les débuts de la laque européenne, ou vernis gras.

Dans les coulisses de l'atelier...

Contact

situé au coeur du golfe du morbihan, 
l’atelier se visite uniquement sur rendez-vous
16 rue de Kerquer 
56000 Vannes
Siret 814 372 447 00023 

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Situé au coeur du golfe du Morbihan, l’atelier se visite uniquement sur rendez-vous.

16 rue de Kerquer 56000 Vannes entre.laque@gmail.com                    07 54 81 05 02